—Musique : Les fanboys payent plein pot —
Une interview de sieur Reznor, leader du célèbre groupe Nine Inch Nails, se révèle couvrir de manière intéressante certains aspect de la vente de disques.
On y apprend que si ces CDs sont vendus $30, ce n’est pas parce que l’album est vendu dans un digipack parfumé mais parce qu’une étude du label montre que son publique est prêt à payer ce prix. Sympa. Du coup, l’homme derrière NIN décide de se passer d’Universal et de vendre prochainement l’album depuis son site Internet pour $4, ni plus ni moins !
Le musicien Trent Reznor s’attarde aussi sur le cas chinois (dans le cadre d’une tournée sur place), et déclare que s’il est difficile de trouver le disque légalement, il vaut mieux le télécharger que d’acheter des copies pirates.
Son point de vue sur les DRM n’est pas plus bête que le reste de ses propos : ça n’arrange pas les auditeurs et c’est même tout à fait compréhensible qu’ils préfèrent obtenir des morceaux sans verrous à partir des réseaux P2P.
Ces déclarations n’ont pas de caractère inédit, mais elles méritent tout de même d’être répétées jusqu’à l’abolition de ces mesures antipathiques.