Étui miniGel : encore un petit effort

Les étuis en silicone sont légion pour l’iPod, impossible de tous les répertorier ! Alors, autant vous toucher deux mots du miniGel de chez MCA, dont la conception et les qualités de fabrication nous ont tapé dans l’œil.

Au premier contact avec la matière de l’étui, une seule remarque : MCA ne s’est pas moqué de nous ! Le silicone utilisé est très agréable au toucher, il n’accroche pas et n’est pas pour autant tout mou comme souvent, c’est un vrai plaisir de l’avoir dans la main.

On trouve également un très élégant tour-de-cou dont l’attache est en métal. Le fil quant à lui est très solide (la matière utilisée donne réellement une impression de sécurité, à l’inverse des tours-de-cou en nylon). Un bon point !

Protégeant l’écran mais pas la molette, l’étui dispose d’une assez large ouverture au dos, permettant d’y glisser facilement l’iPod 5G. Le tour-de-cou est solidement attaché sous cette fente, mais malheureusement ne disparait pas totalement quand on le détache. Porté autour du cou (bin oui, hein), la fente a également une facheuse tendance à “bailler” : un peu dommage.

Une fois l’iPod en place, gros souci : des bulles d’air (en fait, plutôt des “traînées” apparaissent. Pas très design.

En dépit de ses qualités indéniables de fabrication, le miniGel a un certain nombre de défauts : la fente dans son dos et surtout l’espace de la molette laissent passer beaucoup de poussière, et on se retrouve avec un iPod certes fort bien protégé, mais constellé de petites poussières… Quand vous voudrez faire le ménage, attendez-vous également à galérer, puisque la sortie du baladeur est assez difficile. Heureusement, l’étui est assez souple et flexible pour que vous puissiez le tordre dans tous les sens. Dernier souci, mais je chipote, l’accès au bouton Hold est assez difficile, surtout si vous avez des gros doigts et pas d’ongles.

En conclusion

Voilà un étui qu’on aurait aimé vous faire adopter : les finitions et les matériaux utilisés, malgré le tarif, sont d’excellentes qualités. Mais le bât blesse avec ces fichues bulles d’air et surtout, les poussières qui s’insérent insidieusement. Dommage…