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Ecouteurs Shure E2C : le test

E2C de Shure

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Test paru sur le Blog de Pierre et repris ici avec son accord.

iMike

Publié le

 

Par

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Depuis que j’avais découvert les écouteurs intra-auriculaires de Sony (les MDR-EX51, EX71, EX81, et NX1), je croyais que rien ne pourrait jamais me faire changer d’écouteurs, que c’était le summum. C’est effectivement le summum comparé à des écouteurs classiques. On a l’impression de redécouvrir les musiques qu’on écoute habituellement.

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Depuis quelques temps, je voyais fleurir un peu partout des pubs pour les écouteurs de la marque Shure, que je ne connaissais pas. En parcourant le net, je suis tombé sur pas mal de tests sur les différents modèles d’écouteurs de Shure. Quand on regarde les prix de ces écouteurs, ça fait vraiment peur ! De 90€ pour les Shure E2C à 453€ (oui, oui, 3000 francs !) pour les Shure E5C (les E3C sont à 160€ et les E4C à 232€) !

Deux tests, sur Génération MP3 et sur UniversMobile.net, m’ont donné envie de tester ces écouteurs Shure. Notamment le test de Génération MP3, d’un utilisateur des Sony MDR-EX71 qui a acheté des Shure E2C. Son test très précis sur des morceaux très connus est sans appel. Il y a le même écart entre des écouteurs classiques et des MDR-EX71, qu’entre des MDR-EX71 et des Shure E2C.

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J’ai reçu lundi mes Shure E2C (commandés chez MacWay). Je les teste donc depuis 3 jours, et j’avoue que je suis vraiment bluffé par le son de ces écouteurs. Je redécouvre à nouveau mes musiques, je découvre des instruments que je n’avais jamais entendus en écoutant certains morceaux. On entend aussi parfois des “impuretés” dans les voix des chanteurs et chanteuses ! Le niveau de détail du son est impressionnant. C’est dû aussi au fait que mes MP3, encodés en 192 kbps permettent d’avoir ce niveau de détail. Je ne suis pas sûr que des MP3 en 128 permettent la même écoute.

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Ces écouteurs s’installent différemment des intra-auriculaires classiques, le cordon passe au dessus de l’oreille (ça ne gêne pas avec des lunettes), et ensuite on serre derrière la tête avec un petit tube en plastique sur le cordon. L’idéal est ensuite de faire courir le fil dans le dos (sous un pull) ou directement dans le sac à dos. Les embouts sont confortables, et une utilisation prolongée ne crée pas de douleurs gênantes. J’utilise les embouts caoutchouc (type Sony) plutôt que les embouts en mousse (type Koss The Plug) car ça tient mieux dans mes oreilles. J’utilise la plus petite taille alors que sur les Sony c’était la taille intermédiaire qui me convenait. Attention donc si vous avez des oreilles très petites, les embouts risquent d’être trop grands. L’isolation phonique est bien meilleure qu’avec les embouts Sony, et là où j’écoutais un morceaux à 80% du volume sur mon nano, je ne mets plus que 60% avec ces écouteurs pour avoir la même impression de puissance.

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Au niveau du package de ces Shure E2C, c’est vraiment très complet : un étui avec un système pour ranger proprement les écouteurs en les enroulant, 3 tailles d’embouts en caoutchouc, 3 tailles d’embouts en mousse, un livret d’utilisation en papier (et pas en PDF comme souvent).

En conclusion, je ne peux que vous recommander ces écouteurs, même s’ils sont très chers. Dans la gamme, les E2C sont les seuls à être encore abordables, après je trouve que ça n’est plus très raisonnable, même si d’après ceux qui les ont essayés, ils rendent encore mieux. C’est un objet de luxe, mais si écouter de la musique fait vraiment partie de vos loisirs favoris, le jeu en vaut la chandelle.

Test paru sur le Blog de Pierre et repris ici avec son accord.

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