Deutsche Bank craque pour l’iPhone
Le résultat est «fantastique» d’après l’analyste Chris Whitmore, qui loue l’expérience, la rapidité et la facilité pour accéder aux données – bien plus que sur un BlackBerry. Surtout, «c’était super de ne porter qu’un appareil pour accéder à ses e-mails personnels et professionnels».
En revanche, deux critiques ont émergé : l’impossibilité de télécharger les pièces jointes en tâche de fond, ainsi que l’absence d’un témoin visuel pour signifier l’arrivée d’un courriel.
Mais la note est plus que positive pour l’iPhone : «Il n’y a pas de retour en arrière possible», assure Whitmore, qui prédit que cet essai dans son entreprise va l’amener à déployer largement le mobile pommé. L’iPhone est également en phase de test dans plusieurs autres banques, dont Citi, Bank of America ou UBS.