Pas de smartphone pour Nintendo
Les téléphones sont des outils, déclare Fils-Aime, qui ne sont pas «par définition des appareils taillés pour le divertissement», assure t-il. De plus, Nintendo devrait partager les revenus avec les opérateurs, ce qui se répercuterait sur les prix des jeux (qui sont déjà suffisamment onéreux par-rapport à ce qui se pratique sur l’AppStore : 40$ en moyenne, contre 0,99$ à 10$).
Sony n’a pas cette pudeur et a fini par lancer avec l’Xperia Play une console avec des fonctions de téléphonie.