BarMax : une bonne affaire
Mike Ghaffary, le patron de BarMax (la société a donné son nom à l’application), est un homme heureux : avec plus de 100 ventes au compteur (soit un chiffre d’affaires -sans compter la ponction d’Apple- de plus de 100 000$, forcément), l’affaire s’est révélée profitable. À un point tel que des versions pour les barreaux des États de New York, Illinois, Texas et Floride sont dans le tuyau…
Et les utilisateurs sont eux aussi ravis car il s’agit d’une aubaine pour eux : BarBri, l’équivalent de BarMax, coûte de trois à quatre fois plus cher…
En ce qui concerne la petite affaire qui avait vu un gamin de 11 ans télécharger par mégarde l’application (lire «Un achat qui coûte cher»), Ghaffary assure qu’il était prêt à rembourser le logiciel mais a été coiffé au poteau par Apple.
Comme quoi, il est possible de vendre des applications chères sur l’AppStore…