Palm en rade
Verizon a bien moins investi en publicité autour des solutions Palm que son homologue Sprint. De plus, la société dirigée par Jon Rubinstein fait face à la concurrence de plus en plus accrue des smartphones sous Android, dont de nouveaux modèles ne cessent d’être lancés… Sans compter que Palm fait peu de cas des lancements à l’international.
De son côté, Palm a peu d’arguments à opposer, si ce n’est un système d’exploitation effectivement novateur, mais installé sur bien peu d’appareils. Et les nouveautés n’ont pas vraiment été au rendez-vous lors du CES… L’entreprise se retrouve donc dans au coeur du cyclone et pourrait représenter une proie facile pour un plus gros constructeur.