Voilà une liste, ordonnée alphabétiquement, des éléments du hub. Technologies, iApps, matériel, vous y trouverez des commentaires pour faire le point et en suivre l’actualité. Ce Dicodeur est complété parfaitement par le Tableau d’abord. Prêts pour la visite ?
Airport : La technologie de réseau sans fil d’Apple, sur le standard IEEE 802.11. En option avec les machines (qui sont cependant équipée des antennes nécéssaires), grâce à une carte (connexion à un autre mac équipé) ou une borne (jusqu’à 10 Macs équipés de cartes et partager un accès Internet). le réseau local ainsi obtenu, compatible avec les normes Wi-Fi, offre des débits jusqu’à 11 Mbps (Démo animée). – (Retour)
AppleScript : AppleScript vit une seconde jeunesse avec OS X, et promet d’être un soutien inconditionnel pour automatiser l’utilisation du hub. Vos photos de votre appareil à l’internet (sur votre homepage .mac) en cinq minutes et sur un clic… C’est possible, grâce à l’Éditeur de scripts livré avec Mac OS, simplement en enregistrant vos actions. De nombreux scripts directement utilisables sont d’ores et déjà disponibles. Pour aller plus loin, il vous faudra connaître l’anglais et apprendre les bases de la programmation procédurale. Rien d’inquiétant toutefois, AppleScript se programme (presque) comme on parle… Comme les iApps, il existe aussi une version “pro” de l’éditeur : AppleScript Studio, qui fait partie des Outils Développeur. – (Retour)
AppleWorks : La doyenne des iApps, si l’on exclut les ancêtres, MacWrite et MacPaint, de cet excellent intégré bureautique. Anciennement ClarisWorks, livré avec tous les Macintosh grand public, il regroupe en un seul logiciel les fonctions d’un traîtement de texte, d’un tableur, de deux logiciels de dessin, bitmap et vectoriel, ainsi qu’un module de communication remplacé depuis par un éditeur de présentations. Bien que d’une puissance souvent sous-estimée, permettant de faire face à la majorité des tâches de bureautique personnelle, d’une classe, d’une association, ou d’une petite entreprise, AppleWorks semble arriver en fin de vie. D’après MacOSXrumors, sous le nom d’iOffice ou quelque chose comme ça, Apple s’apprêterait en effet à sortir un AppleWorks revisité, en deux versions. La première serait toujours gratuite, l’autre, payante, pourrait grâce à de nouvelles fonctions bousculer le concurrent encombrant, la suite Office de Microsoft. – (Retour)
Bluetooth : L’autre technologie sans fil, dédiée non plus au réseau local (LAN Local Area Network), mais au réseau personnel (PAN Personnal Area Network). Avec des débits moindres que son grand frère IEEE 802.11, la connection Bluetooth s’adresse à des périphériques : imprimante, PDA, téléphone portable, ou encore stylo numérique. Nécéssite un adaptateur matériel sous forme d’une prise usb ou d’une carte PCMCIA. – (Retour)
Carnet d’adresses : La version 3, entièrement refondue, de l’Address Book, en fait une solution réellement agréable, bien qu’encore perfectible. Mais c’est bien son rôle plus discret de service du hub qui lui donne toute sa puissance. C’est en effet un véritable serveur de contacts local (ou distant via .mac) qu’interrogent (ou renseignent) toutes les iApplications concernées. – (Retour)
iCal : Malgré bien des tentatives, jamais une solution satisfaisante d’agenda n’a su s’imposer sur Mac. Grâce à iCal, Apple complète le dispositif avec lequel elle relève enfin le défi : un véritable organiseur partagé entre des briques synergiques. iCal illustre bien la mise en place de cette voie : une iApp conçue selon la façon nous gérons notre temps (et pas l’ordinateur), et un format de fichier standard, aisément fusionnable et partageable, le tout sous une interface exemplaire tirant profit notamment des qualités du moteur graphique Quartz. – (Retour)
iChat : La meilleure solution de messagerie personnelle, Steve Jobs a tout-à-fait raison de la présenter ainsi, à un détail près : l’interopérabilité avec d’autres services qu’AOL/AIM (cf dépêche) et, bien sûr, .mac. En dehors de cela, iChat est tout simplement une extrordinaire démonstration d’ergonomie, de simplicité et d’esthétique, qui, si vous ne pratiquez pas encore ce type de services, vous convaincra probablement de rajouter cette carte à vos façons de communiquer. – (Retour)
iDVD : Lorsqu’Apple, après avoir imposé au marché les SuperDrive (combo graveur de DVD et CD) en les installant sur sa gamme professionnelle, a pris le parti de les proposer également sur les iMacs, il fallait une iApplication, plus abordable que DVD Studio Pro, pour les piloter. iDVD est donc le dernier chaînon de votre studio privé, pour préparer à la diffusion votre œuvre numérique auprès de votre (grand) public… – (Retour)
iMovie : Hollywood sur Mac, Apple l’a rêvé, Apple l’a fait, pour notre plus grand bonheur. Et ne pensez pas que cela aura été avec autant de facilité que vous montez vos films DV aujourd’hui. Il ne suffit pas, en effet, de mettre à portée de tout un chacun des techniques sophistiquées, qui font l’objet de plusieurs métiers. iMovie est donc un outil clair, cohérent et pédagogique, et, si jamais cela ne suffit pas, les conseils aux réalisateurs du site d’Apple devraient finir par vous inspirer. – (Retour)
InkWell : Cette technologie peut au premier abord apparaître inutile voire incongrue sur une machine dont les périphériques d’entrée se réduisent à un clavier ou une souris. Pensez simplement à un stylo numérique Bluetooth, et vous pourrez alors entrevoir comment goûter le savoir faire d’Apple en termes de reconnaissance de l’écriture manuscrite naturelle (et non selon des lettres/signes convenues comme sur Palm). L’extraordinaire effort de développement nécessaire pour obtenir un comportement “intelligent”, déjà impressionnant sur le Newton, vous permet désormais d’écrire votre courrier électronique à la main, pour un résultat typographique ou simplement graphique (signature…). – (Retour)
iOffice : (Voir AppleWorks). Le MS Office-killer à la Apple ne fait pour l”instant que l’objet de rumeurs. Mais quel plaisir, déjà, dans le seul fait de les entendre ! – (Retour)
iPad : iPad n’existe pas… sinon dans nos rêves, et qui sait, dans le coffre-fort à prototypes d’Apple. Imaginez… Un iMac G4 réduit à son écran plat, OS X, un stylet ou un doigt, et voilà. L’ardoise magique version Apple, peut-être un magnifique futur pour l’iBook, et toujours, avec l’iWalk l’espoir d’une bonne surprise qui aide à tenir les jours sans… – (Retour)
iPhoto : Brancher l’appareil numérique, et boom, les photos à l’écran, instantanément disposées en planches-contact. Question boîte à chaussures de l’amateur, c’est facile à dire, mais y’a pas photo ! Classement, correction, impression, archivage “en dur”, ou encore publication en ligne dans la homepage de votre iDisk, tout baigne dans l’Aqua et l’on garde les mains sèches. – (Retour)
iPod : Ce coup de génie-ci a réussi : créer l’objet externe d’une iApp. Le risque était grand (voir iPad), mais Apple n’a pas à le regretter, et compte même sur l’objet déjà “culte” pour faire pénétrer cette démonstration de son style jusqu’au cœur de l’imprenable forteresse Wintel. Rien d’étonnant : tout Apple tient en ces quelques grammes de plaisir pur, et d’hommage à la musique, de la part d’un enfant du rock qui ne l’a pas oublié. – (Retour)
iSync : Ce service pourrait s’appeler click & go. Le haut de l’iceberg est un simple bouton qui permet de synchroniser instantanément vos données entre les éléments du hub, iApps et périphériques. En-dessous du niveau d’Aqua, ça se complique, mais pas pour vous. Mission : aiguiller tout ce qui est synchronisable, et tenter de rendre synchronisable ce qui ne l’est pas. Objectif : n’avoir à saisir qu’une (bonne) fois (pour toutes) vos informations et les rendre disponibles partout où elles sont nécessaires, pour votre téléphone ou vos voisins. – (Retour)
iTunes : Ne pas confondre iTunes, tout premier des fraternels iLogiciels, avec un lecteur de MP3, c’est beaucoup plus que ça. C’est une machine à rendre le fait d’écouter de la musique aussi agréable que… de l’écouter ! Tout y est à la portée d’un clic pour enrichir votre bibliothèque musicale, l’organiser, la diffuser, la glisser dans votre iPod ou sur quelques DVD pour la pérenniser. Graver votre compilation perso, faire le DJ pour une nuit endiablée, créer vos propres hit-parade automatisés, et, bien sûr acheter du contenu sur .mac, tout est possible, tout est permis… Du moins tant que les majors du music business auront d’autres chats qu’Apple à fouetter… – (Retour)
iWalk : Autre Arlésienne célèbre des rumeurs sur la Pomme, l’iWalk ferait bien d’exister. Mais, malgré le succès de l’iPod qui en offre depuis peu quelques fonctions, on comprend les hésitations de la Pomme à mettre sur ses chaînes un assistant numérique personnel pour un marché déjà saturé de concurrence. D’autres observateurs penchent pour un rapprochement avec Palm, hypothèse d’autant plus crédible que les Pilot et autres Visor sont d’ores et déjà les invités du hub. Sans oser croire à un Palm OS revu par les poètes du code cupertiniens, gageons que quelques passerelles logicielles nous aideront à tirer le plein parti d’iSync, pourquoi pas, même avec d’autres Pocket-OS ? – (Retour)
iWeb : Nous ne devons qu’à l’insu du plein gré d’Apple le fait d’avoir Explorer installé par défaut sur nos Mac (bien que pointant, ironie du sort, vers un portail Apple/Netscape…). Aussi est-il bien probable que, dans la même veine qu’un éventuel iOffice, apparaisse bientôt sur nos écrans ce qui sera au surf ce que le nouveau Mail est déjà : non seulement un client propre à redessiner nos pratiques, mais aussi un élément intégré et synergique du hub. Réfrénons donc notre impatience, la moitié du travail est déjà dans Sherlock 3, et dommage pour ceux qui ont essayé mais n’ont pas su faire (peut-être n’ont-ils pas été aidés) la différence jusque là. iWeb ou pas, il y aura une solution, et elle sera à la hauteur de nos attentes, n’en doutons pas. – (Retour)
Jaguar (Mac OS 10.2) : La polémique autour du prix de la mise à jour Jaguar (qui équipera, ne l’oublions pas, les nouvelles machines) tient peut-être au fait qu’Apple, comme les services .Mac, semble les ranger du côté du hardware, ou tout au moins ses accessoires direct, ce qui peut se défendre. Le hub comporterait donc deux types d’éléments, les machines, qui se payent, et les applications, dont au moins une version de base est gratuite. Cela acquis, on peut comprendre à quel point Jaguar franchit un pas aussi important, bien que moins tape-à-l’œil, que celui du Système 9 à MacOS X. La version 10.1.5 est la dernière à se contenter d’être un OS “classique”, dédié au fonctionnement d’un ordinateur. Jaguar est bien sûr toujours cela, en beaucoup plus rapide et de mieux en mieux, mais il est surtout le premier OS du hub, conçu pour focaliser cet univers numérique infini et nous en rendre les lumières accessibles. Il ne manquerait plus qu’une connection haut débit gratuite accessible à tous pour en profiter pleinement, mais pour le reste, on dirait bien qu’Apple s’en occupe, et ça n’est pas à la légère. – (Retour)
Mail : Ce que je pourrais dire de mieux sur cette nouvelle version de Mail, c’est : essayez-la… C’est une question d’expérience personnelle, mais je prends le pari qu’au bout de dix minutes, vous vous demanderez pourquoi tous les mailers ne sont pas faits comme ça. Dans une ambiance sereine (comment traduire l’indicible ?), sous des dehors trompeusement simplistes, Mail témoigne une fois de plus qu’Apple a su aborder le problème de manière globale, du point de vue de l’usage plutôt que des usages. Gestion multicompte, boîtes à lettres à la demande, contrôle abouti des règles liées à l’envoi ou à la réception de messages, tout est là pour en faire une standalone application d’autant plus satisfaisante qu’elle est parfaitement gratuite. Mais c’est aussi une iApp, qui offre en plus, l’intégration directe d’iChat (si l’auteur du mail est en ligne, vous le savez et pouvez lui répondre de vif-mail…), ou utilise le Carnet d’adresse, sait se synchroniser avec vos autres plateformes de mail et tout particulièrement avec un compte imap .mac. Et si certains détails lui échappent encore, comme l’importation des contacts (celle des messages est au point), ou le drapeau de priorité des mails (peu utilisé et facilement contournable), l’époustouflante et très pratique gestion “intelligente” du courrier indésirable a largement de quoi nous consoler, sans compter les perspectives d’évolution. – (Retour)
Photographie numérique : La première tentative d’Apple pour amener sur nos bureaux électroniques les bienfaits de la photographie numérique ne datent pas d’hier. Il y a bien eu, souvenez-vous, dès 1994, un QuickTake qui devait être à QuickTime ce que l’iPod est à iTunes. Trop tôt, et puisque tout le monde fait mieux, que les connexions FireWire et USB ont su s’imposer, Apple s’occupe de l’affaire au moment où elle rentre dans le Mac, et comment ! Il suffit de brancher (en attendant le sans fil…) l’un de ces appareils photos numériques pour que son contenu apparaisse dans iPhoto. Mais ce n’est pas tout : toutes les options d’édition, de publication et de sauvegarde du hub sont alors naturellement disponibles : gravure, envoi par mail ou iChat, diaporama sur .mac… Dire que, pour le prix d’un labo (placard compris, d’accord) à la maison, on a en plus un Mac pour faire des tas d’autres choses… – (Retour)
QuickTime : Si Jaguar est aujourd’hui au cœur du hub, c’est bien QuickTime qui, il y a déjà bien longtemps, a inventé cela. Tous les principes qui en inspirent la philosophie y ont été expérimentés, j’ai presque envie de dire rôdés. Au cœur du système, comme celui-ci est au cœur du Mac, c’est ce qui pourrait être décrit comme un moteur de traitement centralisé du flux multimedia. Au cours de son évolution, cette technologie a introduit la fédération des multiples formats multimedia, de l’image à la 3D en passant par Flash et le MIDI, une solution d’authoring et de diffusion abordable, un streaming son et video qui n’a pas à rougir devant les alternatives, et mise aujourd’hui sur les standards gratuits et non propriétaires MP3 pour le son et MP4 pour la vidéo. Les technologies de streaming, pour la diffusion en continu, surtout appuyées sur l’architecture des serveurs Akamai liés à Apple, démontrent leur efficacité. Mais Apple n’a jamais caché sa réelle ambition (méritée) pour QuickTime : en faire un véritable standard universel, partagé par d’autres constructeurs ayant à faire face à un traitement de données multimedia, du monde de la télévision, à celui, encore émergent, du “numérique embarqué”, sur téléphones ou PDA. Si le hub est le challenge “culturel” d’Apple pour cette première décennie du siècle, cette explosion de QuickTime pourrait bien être celui de la réussite industrielle totale. – (Retour)
Rendez-vous : Si le summum de le technologie est de la faire disparaître, Rendez-Vous réalise le tour de force d’y parvenir… Profitant des capacités d’auto-configuration unixiennes, ce nouveau service de Jaguar entend régler une fois pour toutes le problème des configurations réseau. Auscultant en permanence ce dernier, il détecte automatiquement les postes ou périphériques connectés (par Ethernet ou Airport), et les rend accessibles de façon transparente. Si ce Rendez-vous a pour vous un goût de déjà-vu, vous ne vous trompez pas : c’est du Tonton NeXT tout craché… – (Retour)
Sherlock : En écartant la recherche de fichiers en local de la nouvelle version de Sherlock, Apple tient à réaffirmer sa vocation, souvent délaissée au profit des moteurs de recherche du web, mais surtout à la repréciser à la lueur du déploiement de la plateforme .mac. Parmi les services “enrichis” que celle-ci proposera sous peu, certains sont en effet taillés sur mesure pour ce client un peu spécial, dédié à la recherche. L’ambition avouée est d’en faire le point de départ privilégié de nos surfs, capable en plus de présenter de façon adaptée l’information obtenue. Ainsi redessinée, cette véritable “entrée de services” .mac nous réservera bien des surprises dans son évolution prévisible, à mesure que les serveurs de contenu vers lesquels elle saura se tourner proposeront leur contribution. – (Retour)
Téléphonie mobile : La démonstration de l’interaction du Mac avec un Sony-Ericsson T68i (illustration), bien que probante, laisse un peu sur notre faim. Et ce n’est pas la présence du PDG de ce fabricant sur la scène de la keynote qui assure que des efforts soient faits pour une véritable convergence bilatérale entre les constructeurs. Quoiqu’il en soit, le Mac est prêt pour Bluetooth, et fera tout ce qui est en son pouvoir pour en exploiter les possibilités. Tant que de l’autre côté, on aura recours à des formats standard, vCard pour les adresses, MPs divers pour l’audio-visuel, on pourra s’arranger pour tirer parti d’architectures étrangères. Mais de là à espérer un QuickTime embarqué (on y a pourtant bien pensé, et QT n’a pas dit son dernier mot…) ou, même, à un conseil d’ergonomes Apple pour le design des interfaces de téléphone, autant compter sur un succès total du hub… – (Retour)
Vidéo : Qu’Apple ait démocratisé l’exploitation de la vidéo numérique en même temps que le matériel devenait plus abordable, c’est une évidence qui ne doit pas masquer les efforts que cela lui a coûté. Le choix du FireWire, standard alors rare, en est un des courageux exemples, et parmi les paris réussis. QuickTime, bien sûr, est la base de l’édifice, et les succès d’Apple et de ses partenaires logiciels dans le domaine professionnel affleurent de façon invisible sous l’interface avenante d’un iMovie. Souvent suffisant et largement pédagogique, cette iApplication est plus encore que ce qu’il y paraît : une véritable façon de vous habituer à votre univers d’images animées, pour bientôt faire votre cinéma sur internet via votre iDisk, visiophoner avec iChat, le temps de voir nos machines équipées d’une caméra aussi sûrement qu’un micro… – (Retour)
.mac : Si Jaguar est l’OS du hub, .mac en est le plus particulier des périphériques. Quasi-réplication de votre Dossier Départ online, ce n’est pas par hasard, ni seulement tout-à-fait ça. Pour un prix que bientôt plus personne ne discutera (si toutefois un effort de localisation réel est mené à terme), Apple offre non seulement une adresse mail (permettant l’envoi via son smtp, soit sans avoir à reconfigurer à chaque fois que l’on change d’accès) et de l’espace disque, mais l’accès à une gamme de services qui ne demande qu’à se développer, et dont ceux qui sont proposés à l’heure actuelle ne sont que précurseurs. Comptez en effet sur Cupertino pour utiliser cette fantastique opportunité de votre espace connecté chez eux, pour remplir vos dossiers distants de logiciel et de MP3 ou vous offrir des outils instantanés de publication de vos différents contenus, comme c’est déjà le cas, mais aussi pour démultiplier la puissance des iApps en les reliant à des services qui les complètent. Comme point final du hub, ce macintosh online aura la tâche ingrate de dévoiler la véritable ambition du concept, en démontrant à quel point le tout est bien plus que la somme de ses parties. – (Retour)