Peter Oppenheimer cause (aussi) !

Le CFO s’est exprimé au cours d’une conférence organisé par Morgan Stanley, et comme pour faire écho à une précédente dépêche, il y a affirmé non sans humour qu’il était plus facile de trouver un pays où l’iPhone était présent plutôt que l’inverse. C’est malin. Et visiblement, ça n’a pas l’air de poser de gros problème à Apple : “Nous voyons cela comme un indicateur positif de la demande et de l’intérêt porté sur l’iPhone. Nous pénétrerons plus de marchés européens et asiatiques cette année.”

Oppenheimer a par contre avoué que le désimlockage (légal comme en France, ou illégal partout ailleurs) avait pesé sur les résultats financiers d’Apple. C’est que les sous du partage des revenus sur l’abonnement ne rentrent pas dans les caisses de Cupertino !

Enfin, à la question d’un professionnel dont l’entreprise aimerait bien troquer ses BlackBerry contre des iPhone en pointant les faiblesses du smartphone pommé dans ce domaine, Oppenheimer a rétorqué qu’il fallait attendre 24 heures [ce soir], qu’il aurait sa réponse et que le monde ne connaîtrait plus jamais ni la faim ni la guerre. Heu non, les deux derniers trucs il ne les a pas dit, mais le reste, oui.

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