Oracle était intéressé par Palm et RIM
Une cellule interne chez l’éditeur a planché sur ces deux possibilités, censées permettre à Oracle de venir chatouiller à la fois Google et Apple. Au final, la société a jugé qu’il s’agissait là d’une «mauvaise idée» qui n’avait aucun sens, ni en termes financiers, ni au niveau de la concurrence.
L’acquisition de l’un ou de l’autre des constructeurs auraient placé Oracle en compétition directe avec un concurrent féroce (Google) et une entreprise amie (Apple). Il n’est pas certain qu’une opération de cette envergure ait effectivement été d’une grande pertinence : si Oracle sait concevoir du logiciel bien spécialisé, son expérience en matière matérielle est beaucoup plus limitée.
Au final, Palm a été racheté par HP en 2010, avant d’être crucifié l’année suivante en même temps que le système d’exploitation webOS. RIM se débat avec ses problèmes financiers et est en bien mauvaise posture.