Greenpeace pointe de nouveau Apple
L’augmentation de cette utilisation (par exemple les vidés en ligne, réseaux sociaux, etc.) provoque en effet une demande plus forte en matière énergétique.
«Pour être clair, nous ne nous en prenons pas qu’à Apple», prévient Greenpeace dans son rapport, en saluant au passage l’utilisation de matériaux plus propres dans l’iPad. «Mais peut-être que quelqu’un peut proposer une application qui permettrait de calculer l’empreinte carbone de l’utilisation des sites web, en se basant sur leur localisation et leur consommation d’énergie».
Greenpeace indique que les réseaux de télécommunications et les data centers consommeront environ 1 963 milliards de kilowatts/heure d’ici à 2020, soit le triple de la consommation actuelle. Des périphériques comme l’iPad ne feront qu’accentuer le réchauffement de la planète.