Second Life façon Apple
Le brevet indique ainsi que les boutiques virtuelles, pour intéressantes qu’elles soient, sont également coupables d’ “isolation” et de “rendre stérile” la clientèle.
Les éventuels acheteurs, isolés, étant des consommateurs malheureux, sont plus aptes à tourner les talons et à ne rien acheter. Si vous leur procurez une expérience de magasinage “heureuse” avec une interactivité avec des avatars Apple, ils auront une impression positive du magasin.
Tout cela rappelle à bien des égards le projet de monde virtuel “eWorld”, élaboré par Apple en 1994, ce qui ne nous rajeunit pas. L’idée était de proposer un palliatif à internet, que voulez-vous, c’était la mode à l’époque.
En tout cas, espérons qu’Apple en profitera pour optimiser la navigation sur sa boutique en ligne, parce qu’avec Safari, ça rame toujours !