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—Orange : iPhone attire bien la foudre —

Boro

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Contrairement à ce qu’une étude avait cru pouvoir démentir iPhone en France et qui proposeraient le terminal assorti d’un abonnement à un opérateur concurrent.

Contacté par MacPlus, un porte-parole explique que “ c’est tout le battage fait par certains distributeurs sur la place de Paris autour de la commercialisation d’iPhones, éventuellement couplés à des offres de services de concurrents qui nous a décidés à faire respecter les accords d’exclusivité passés avec Apple. Cela concerne l’exclusivité de la distribution, de la commercialisation et de l’offre de service qui lui est associée ”.

En outre, l’opérateur attire l’attention sur les clauses des conditions de vente qui stipulent qu’en cas de mise à jour, l’iPhone est susceptible de ne plus fonctionner et de perdre sa garantie, cas de figure où le distributeur retirerait sa responsabilité.

Visée sans la nommer, la société PhoneandPhone qui bénéficiait d’un buzz conséquent depuis une paire de semaines en proposant des iPod désimlockés, assortis de forfaits Bouygues ou Virgin Mobile. Celle-ci semble en effet avoir voulu pousser un peu trop loin son avantage en commandant quelques 4:3 dans la capitale, que l’on peut voir sur le blog spécialisé iPhon.fr.

Hier, Pascal Cagni le vice-président Apple pour l’Europe avait déjà déclaré vouloir lutter contre le marché parallèle des iPhone désimlockés, tout en affirmant également sa volonté de respecter l’encadrement législatif français.

Tim Cook le n°2 d’Apple en avait avalisé le chiffre officieux lundi soir (voir la dépêche) : ce sont bien 250 000 iPhones “ gris ”, c’est-à-dire destinés au désimlockage qui auraient été vendus depuis le lancement du 29 juin aux États-Unis, chiffre à mettre en regard des 1 389 000 exemplaires écoulés jusqu’à la fin septembre.

Selon les résultats publiés lundi soir pour son 4e trimestre, Apple toucherait en effet davantage de revenus ce trimestre des services et redevances associés à l’iPhone que de la vente proprement dite des téléphones (voir la chronique du 23 octobre) sur le marché états-unien. Une bonne raison de vouloir protéger un modèle économique naissant.

Personne n’était en mesure de répondre à nos questions chez Phoneandphone.

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