Le corps du délit…
La société britannique spécialisée Ann Summers , qui commercialise ce périphérique d’un autre genre de plug-and-play, a en effet reçu une lettre l’enjoignant de cesser l’utilisation sinon du gadget lui-même, du moins celle des visuels des publicités qui sont en quelque sorte au fondement de l’image de marque de l’iPod depuis 2003… avec pour conséquence une erruption de celles-ci sur le web. La responsable de la boutique n’a en effet pas manqué de s’épancher sur l’épaule compatissante de la presse de caniveau britannique, avec pour conséquence pas moins de 580 000 ocurences dans Google sur le terme iGasm sur Google, l’ensemble du web spécialisé ou non, s’étant fait un plaisir de répercuter l’information en cascade.
A la décharge d’Apple, il faut dire que ce type de dilution d’un nom de marque est désormais plutôt redouté que souhaité par les sociétés, soucieuses d’éviter la banalisation de leur produit. A l’été 2005, un certain nombre de sites de la websphère avait été notamment coontraints de supprimer sous la pression toute référence à l’iPod dans leur nom de domaine.